Les Chants de Loss ont pour décor la planète éponyme, un monde sauvage et presque vierge, aussi beau qu’hostile. Sous un ciel barré par l’éclat bleuté de la géante gazeuse Ortentia, une constellation de cités-États, d’empires et de nations tribales cohabitent avec une faune démesurée, étrange, merveilleuse et effrayante qui domine le monde sauvage. À l’abri des murs de leurs villes et de leurs villages, les sociétés lossyannes prospèrent sous les frémissements d’un âge d’or de la technologie Da Vinci-Punk.
La source de celle-ci ? Le loss-métal, qui permet de faire léviter les navires, construire les plus fantastiques palais et les plus épaisses murailles, et produire la mystérieuse électricité qui alimente déjà les premières machines-outils et de nouvelles armes. Une ressource qui est plus convoitée encore que le second bien le plus précieux de ce monde : les femmes. Le Loss-métal est plus rare que l’or, bien plus cher, autrement plus sacré… mais il est craint, aussi. Car il est la source du pouvoir des Chanteurs de Loss, qui peuvent, de quelques notes, entrer en résonnance avec lui, contrôler la gravité, l’électromagnétisme, la vie… et défier les dieux. Les Chanteurs de Loss sont rarissimes et ils sont pourchassés. L’Église est sans équivoque sur leur destin : la mort ou l’asservissement.
Contenu de la boîte : 3 livres de 192, 208 et 112 pages, 1 livre de 80 pages, 1 bloc de 25 fiches, 5 fiches bristol, 5 livrets de 16 pages, 1 planche de 20 pions, 1 écran.